Dogmes : Liberté et Guerre
Cette religion est née de l’époque où les Orques étaient oppressés par les Elfes des ténèbres. Un guerrier Orque, nommé Olgamar, aurait changé le cours de l’histoire, en ralliant son peuple à une guerre pour la liberté. Les Orques s’unirent sous leur nouveau chef Olgamar. À l’aube d’une guerre pour leur liberté, appelée la Grande Libération, Olgamar aurait levé sa hache et, pour encourager ses troupes, cria « Ce jour est le jour de notre guerre, de notre liberté ! ».
Olgamar serait mort en martyre. Selon la légende, il serait mort criblé d’un millier de flèches, au milieu de la rivière Opinika. Une immense pierre y aurait été posée, afin de rendre hommage à leur héros de guerre et libérateur. Sa chute ne fit qu’augmenter la volonté de liberté qu’avaient les Orques : peu de temps après, ils réussirent à repousser les Elfes des ténèbres vers les confins des Terres de l’Ombre.
Aujourd’hui, Olgamar est vénéré et représente le symbole de la liberté et de la guerre. Ses priants croient que la guerre est inévitable, afin de renverser les peuples oppressants et s’assurer une liberté.
Il n’existe pas de hiérarchie entre les fervents d’Olgamar. Toutefois, les chamans jouent un rôle de porte-parole et de conseiller au sein des communautés vénérant Olgamar. Les Chroniques d’Olgamar seraient un livre sacré, racontant les histoires de cette légende Orque et de ses préceptes.
Bien qu’Olgamar et la majorité de ses priants sont Orques, ce culte s’est répandu à travers différentes régions des Anciennes Terres.
Mort aux Ténèbres, extrait de Les Chroniques d’Olgamar :
Tous ensemble nous fracasserons
Les visages de ces impurs êtres
Nous briserons les chaînes
Nous briserons vos chaînes
Unis pour la Guerre
Nous les briserons
Nos Haches en l’air
Nous les briserons
Mort aux Ténèbres
Quittez vers la Mer
Quittez nos terres
Mort aux ténèbres
Nous serons libres
Nous serons libres
Nous sommes libres
Oui, nous sommes libres
Gloire à nos frères, extrait de Les Chroniques d’Olgamar :
Gloire aux belliqueux, et ceux qui meurent l’arme à la main
Gloire aux virtuoses de la Guerre
Gloire aux radicaux de notre nation, sans eux nous serions des brimés
Gloire aux savants de la Liberté
Gloire aux fermiers, et ceux qui fermentent notre bière
Gloire aux artistes de la terre
Gloire à tous nos frères, sans eux nous serions des solitaires
Gloire à nos frères et à notre Liberté